Le SEO face à l’IA, une nouvelle fois vers la mort du SEO ? Pas si sûr ! Voici comment survivre (et même cartonner)

SEO et IA

Quelles stratégies SEO mettre en place avec la montée en puissance de l’Intelligence Artificielle ?

C’est le sujet d’un webinaire que j’ai eu le plaisir d’animer dans le cadre des 12 défis du numérique organisés par l’association Numérikissimo (l’annuaire des acteurs clés du numérique en France).

Cette conférence a décortiqué comment l’IA change le SEO.

Fini le temps des astuces faciles, place à une réflexion plus fine avec une alliance indispensable IA + humain dans la création des contenus et les optimisations.

Voici les 3 points clés à retenir :

  1. Il faut penser à l’internaute et plus à Google. Ce qui compte VRAIMENT, c’est de satisfaire la personne derrière l’écran. Son expérience et sa satisfaction sont tes nouveaux KPIs n°1.

  2. Ce qui marche encore, c’est le contenu unique & expert (E-E-A-T !). L’IA peut écrire des kilomètres de textes, mais pas (encore) l’expertise. Il faut rajouter de la valeur ajoutée, sourcée, fiable, qui te positionne comme LA référence avec en plus une démarche pour “montrer” à Google que ton contenu est pertinent en lui indiquant via du trafic, des liens… que ton site est pertinent.

  3. IA est un super assistant, mais pas le rédacteur unique. L’IA permet d’accélérer le trafic en rédigeant une excellente base de travail, mais il faut vérifier, enrichir, corriger et ajouter ta touche humaine indispensable pour offrir une page qui va inciter l’internaute à lire et continuer sa lecture.

  4. Penser stratégie & notoriété. Le SEO devient de plus en plus du marketing digital, avec l’importance de travailler sa marque, devenir une source fiable dans ton secteur d’activité (ce qui oblige à choisir sa thématique et sa niche), afin que l’on ait envie de te citer (même sans lien !).

Pour faire simple, une stratégie SEO centrée sur l’humain, l’IA est un outil, pas une baguette magique pour générer du trafic.

Les experts invités étaient les suivants :

experts SEO et ia

Dans ce dossier, je mentionne le logiciel Semrush, l’un des meilleurs outils SEO, avec un lien d’affiliation (si vous achetez via ce lien, je pourrai gagner une commission).

 Pourquoi l’IA a changé le SEO, quels sont les impacts, à la fois sur la production de contenus et surtout le search ?

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Pour Luc, l’Intelligence Artificielle a bouleversé le SEO à deux niveaux :

  • Côté moteurs de recherche, elle permet une meilleure compréhension de l’intention derrière les requêtes, ce qui pousse à créer des contenus plus pertinents et moins centrés sur les mots-clés.
  • Côté création de contenu, l’IA permet de produire plus vite, mais impose aussi de se démarquer par la qualité et l’expertise humaine.
  • Enfin, avec l’arrivée des moteurs IA comme ChatGPT, on voit émerger un SEO sans clic, où les réponses sont données directement, sans forcément passer par un site web (le 0 clic).

Pour Fabien, il faut retenir plusieurs choses :

  • Pour la création de contenus, les LLM permettent de générer des contenus en quelques clics et donc potentiellement en masse.
  • Les coûts unitaires ont donc baissé et ouvrent une voie royale aux spammeurs.
  • Il est également plus facile d’alimenter cette création par de la data (scraping, deep search, data keyword) pour optimiser les contenus.
  • Néanmoins, une majorité des utilisateurs font de la production de contenus IA en masse, sans comprendre les intentions de recherches (ce que veulent les internautes et ce qui les fera lire / rester sur le site), sans construction de maillage (liens internes dans le site et en dehors du site pour valoriser les contenus), ni la prise en compte des topic search (ce que recherche vraiment la personne, son besoin initial et ce qui apportera de la valeur)… De fait, cette création de contenu en masse ne fonctionne pas bien.
  • Même en tant qu’humain, il devient difficile de distinguer un bon contenu d’un contenu IA potentiellement faux mais bien écrit. Les moteurs ont le même problème puissance 1000. Ils doivent donc se baser sur d’autres signaux que le texte pur.
  • Les moteurs ont dû s’adapter, et comme ils ont du mal à distinguer / détecter à faible coût les “bons” des “mauvais” contenus, ils font un focus plus prononcé sur l’historique du site / la notoriété des sites et le navboost. Le navboost, c’est le trafic que l’on va envoyer vers le site (newsletter, réseaux sociaux…) en plus du trafic que reçoit naturellement le site via Google. C’est donc important de donner un signal à Google que le site est “pertinent”, ce qui l’incitera à plus le mettre en avant.
  • Les sites medias grand public (souvent détournés en SEO sale) font donc un hold up sur de nombreuses SERP info/commerciale et enterrent les blogueurs spécialisés.
  • Les MFA (sites réalisés uniquement pour attirer du trafic avec un contenu créé en masse et de mauvaise qualité) ont été dégagés au profit des vrais avis (sites ecommerce et sites d’avis vérifiés).
  • Il ne faut pas oublier que les moteurs font face à des problèmes graves d’audience avec la compétition des réseaux sociaux (YouTube, TikTok, Instagram, Discover, Facebook; Linkedin…), des plateformes ecommerce (Amazon, Temu, Aliexpress) et des chatbots IA (ChatGPT, Perplexity, DeepSeek). Ces sites sont de nouveaux points d’entrées pour rechercher de l’information, ce qui entraine une baisse à régulière et irréversible du trafic SEO. 

Pour Olivier Duffez  : 

  • L’Émergence de l’IA offre des réponses directes, synthétisées, souvent sans nécessiter de clic vers une source externe. C’est l’accélération du phénomène “zéro clic”.
  • La production de contenus.
    • La tentation est grande de se contenter d’utiliser des outils automatisés pour générer du contenu en un clic, mais les résultats sont souvent décevants.
    • Le contenu produit directement par l’IA manque d’originalité, de profondeur et peine à se distinguer dans un paysage numérique saturé.
    • Pour obtenir des contenus de qualité, il est essentiel d’adopter une approche rigoureuse : vérifier la pertinence, l’exactitude et l’impact global du contenu généré.
    • Cela implique de tester continuellement les outils, d’ajuster les prompts, d’intégrer une touche humaine pour enrichir le résultat et de s’assurer que le contenu reflète l’identité et les objectifs de la marque.
  • La recherche (search) :
    • Les moteurs de recherche basés sur l’IA, bien qu’en nette progression, génèrent encore très peu de trafic vers les sites web.
    • Cela s’explique en partie par leur tendance à fournir des réponses directes sans toujours mettre en avant les liens sources, voire en omettant ceux-ci.
    • Les marques doivent donc repenser leurs indicateurs de performance (KPI) et ne plus se focaliser uniquement sur le trafic.
    • Elles devraient accorder davantage d’importance à des métriques comme les mentions de leur marque (brand awareness), l’engagement sur les plateformes sociales, ainsi que les conversions finales (achats, inscriptions, etc.).
    • Une stratégie équilibrée combinant visibilité, notoriété et performance commerciale est cruciale pour tirer parti de ces nouveaux outils de recherche.

Pour Olivier Filloux : 

  • Pour la génération de contenus, avec l’IA c’est devenu beaucoup plus simple, notamment pour les descriptions de produits qui pouvaient parfois être très répétitives.
  • Cependant, il est moins pertinent de faire du contentspining.
  • Globalement avec l’IA les textes sont de meilleure qualité, mais attention tous les textes ne sont pas de grande qualité, le point positif c’est que nous avons moins de textes mal écrits.
  • Pour ce qui est du search en tant que tel, l’IA est la continuité des positions zéro, où on cherche davantage à être un moteur de réponse qu’un moteur de recherche.
  • Les achats au sein même des LLM vont être disponible, c’est déjà le cas pour Perplexity aux USA, et cela va changer le parcours client.

Est ce que l’algo a encore du sens en 2025 ?

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OUI, l’algorithme a toujours du sens, mais son fonctionnement et les facteurs qui pèsent le plus ont RADICALEMENT changé.

Il faut toujours une base technique correcte, un contenu qui traite du sujet, et une certaine forme d’autorité (backlinks, notoriété).

MAIS la priorité a basculé : la satisfaction utilisateur est essentielle, le comportement réel des utilisateurs (cliquent-ils ? restent-ils ? sont-ils satisfaits ?) est devenu un facteur dominant.

L’algo se fie énormément à ces signaux pour valider la pertinence d’une page.

Il faut prouver son expertise, son expérience, son autorité et sa fiabilité, surtout face à la masse de contenu généré par IA.

Comprendre et répondre précisément à l’intention de recherche est fondamental, bien plus que de simplement répéter des mots-clés et générer des contenus en masse avec l’IA.

La réputation du site/auteur et la qualité intrinsèque du contenu (valeur ajoutée, originalité) sont des signaux forts.

L’algo existe toujours et suit une logique, mais cette logique est beaucoup moins basée sur des optimisations techniques, elle est désormais profondément axée sur la valeur réelle apportée à l’utilisateur et la fiabilité de la source.

Donc oui, il a du sens, mais c’est un sens beaucoup plus “humain” et qualitatif qu’auparavant.

 Comment s’adapter face à ces changements dans le SEO ?  Quels sont les exemples et bonnes pratiques ? 

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Pour Fabien : 

  • Ce qui marche encore (et ce qui marchait avant) à savoir un contenu qui répond bien à une vraie intention de recherche sur un site spécialisé pertinent avec une bonne UX.  Les backlinks de qualité sont toujours un signal d’autorité.
  • Les résumés (TL;DR) peuvent aider (potentiellement pour la position zéro), mais Fabien met en garde contre la redondance avec l’intro/conclusion IA et le manque de preuve d’efficacité SEO massive dans ses tests. L’ajout de FAQ structurées est aussi recommandé par Luc.
  • Par contre on doit se battre avec une part de voie plus faible des moteurs de recherche, une baisse de la visibilité des sites non ecommmerce et de nouveaux types de spammeur. Spoiler : c’est très dur en particulier depuis juillet 2024.
  • La question de contenu IA ou humain n’a aucun intérêt, la question, c’est le bon contenu, qui répond à l’intention de recherche. La façon de le produire importe peu si on fait les choses proprement.
  • Le contenu humain est mort dans la mesure où il est difficile de faire valoir sa valeur face à des contenus IA qui viendront en masse le plagier et le vider : bienvenue au contenu augmenté. Reste le problème de la source des contenus initiaux à plagier et de la génération en boucle de contenus IA sur des contenus IA avec vidage de sens et de qualité.
  • Les bonnes pratiques consiste à alimenter ses briefs de rédaction par de la data (données de recherche, analyse sémantique, data externes, etc.)
  • Pour moi l’inbound marketing basé sur Google est en fort déclin, mais il y a encore des choses à faire en particulier sur des verticaux où l’IA ne viendra pas ou bien sera toujours mauvaise (expertise ultra pointue, service avec relation client personnalisée, live experience…). Les usages vont à la vidéo et les signaux navigationnels sont plus efficaces pour déterminer “ce qui plait” à faible coût, il faut donc nécessairement aller sur ces 2 axes..

Fabien a donné 2 exemples de sites automatisés lancés récemment sur du deep search + génération de contenus / génération d’analyses live.

Exemple #1 : Site d’analyse basé sur des données financières

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Ce premier site avec un trafic 100% généré par l’IA et la data (et sans backlinks), génère un trafic régulier depuis Google :

C’est un site qui récupère de la donnée réelle et existante (données financières), l‘IA est utilisée pour générer des analyses à partir de cette data brute.

Le contenu n’est donc pas inventé, mais dérivé de faits.

Les graphiques montrent une courbe de croissance régulière et positive du trafic et de l’engagement.

La conclusion de Fabien sur est que :

  • Le simple fait de fournir des analyses pertinentes et non idiotes, basées sur de la vraie donnée, peut générer des résultats SEO positifs et durables, même face à des sites “mastodontes” historiques qui seraient moins pointus sur l’analyse.

  • Cela suggère que la valeur ajoutée apportée par l’analyse de données, même générée par IA, peut être reconnue par Google et les utilisateurs, et ce, même sans l’appui initial de backlinks.

  • L’approche “Data + IA” centrée sur l’analyse semble prometteuse et encourageante.

Exemple #2 un site “Spam” Basé sur des données fraîches d’actualités.

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C’est usite tout neuf, il récupère de la donnée fraîche (des infos d’actualité génériques).

Il offre une grosse quantité de contenu générée très rapidement (des contenus “spam” de 0 à 700 contenus en seulement 5 jours), il a été lancé sans backlinks.

Les statistiques (Search Console, Analytics sur 30 jours) montrent une indexation très rapide (432 pages indexées), l’acquisition de nombreux mots-clés thématisés (189 kw en SC), et un frémissement initial de trafic (314 PV).

Les conclusions de Fabien sur l’Exemple #2 sont qu’il est possible d’obtenir une indexation rapide et une visibilité initiale sur un site neuf en générant massivement du contenu basé sur des données d’actualité, même sans backlinks.

MAIS (et c’est crucial), Fabien indique que ce site est déjà en train de “s’écraser” ou de stagner très vite.

L’explication probable est l’absence de signaux utilisateurs (navigationnels / Navboost). Google a vu le contenu, l’a peut-être testé, mais comme personne ne clique ou n’interagit durablement avec (pas de validation par l’audience), il cesse de le pousser.

Le volume seul, même basé sur des données fraîches, ne suffit pas sur la durée s’il n’y a pas de validation par l’engagement utilisateur.

Les conclusions que l’on peut tirer de ces 2 exemples :

  1. L’IA + Data peut fonctionner pour le SEO, car on apporte de la valeur ajoutée.

  2. La valeur prime sur le volume. Le site d’analyse financière (Exemple #1) qui apporte une valeur ajoutée spécifique semble plus pérenne que le site de volume basé sur du contenu IA généré à partir d’actualités (Exemple #2).

  3. Les signaux utilisateurs sont indispensables pour attirer du trafic. Même un contenu pertinent qui s’indexe bien finira par chuter si les utilisateurs ne montrent pas d’intérêt (pas de clics, pas de temps passé…). C’est la confirmation de l’importance capitale de la satisfaction utilisateur dans l’algo actuel.

  4. L’Automatisation doit être intelligente.Il ne suffit pas d’appuyer sur un bouton. L’approche doit viser à créer une réelle valeur, pas juste à remplir des pages.

Pour Olivier Duffez : 

  • L’adaptation est au cœur du métier de SEO depuis ses débuts, et l’émergence de l’IA nécessitera encore plus d’agilité. Les bouleversements induits par l’IA exigent une réévaluation des pratiques pour rester performant.
  • Ce qui ne fonctionne plus ce sont les contenus génériques et textes passe-partout (même si parfois ils peuvent satisfaire les algorithmes), mais ils échouent à capter l’attention des utilisateurs, les textes trop longs (verbeux, sans valeur ajoutée..).
  • Une bonne expérience utilisateur va bien au-delà des Core Web Vitals (temps de chargement…). Il faut offrir une navigation intuitive, de la lisibilité ou et une pertinence.
  • Ce qui fonctionne c’est l’analyse approfondie de l’intention de recherche. Il faut investir du temps (ou utiliser des outils performants) pour décrypter les attentes précises des personas. Il ne suffit pas de classer les intentions en catégories simplistes (informationnel, commercial, transactionnel). Chaque page doit être optimisée pour répondre aux besoins spécifiques des utilisateurs, en tenant compte des nuances de leurs requêtes.
  • Il faut faire un focus sur la satisfaction utilisateur pour garantir une visibilité durable sur Google. Cela nécessite avant tout de satisfaire l’internaute. Cela passe par la compréhension fine des détails qu’il recherche (informations, fonctionnalités, réponses précises) et par une conception de pages qui répondent à ces attentes.
Pour Olivier Duffez, le SEO peut se résumer en deux phases clés :
  1. Création d’une page optimisée. Il faut développer un contenu de qualité, bien structuré, avec un maillage interne efficace et, si possible, soutenu par des backlinks de qualité. Une page pertinente se positionnera ainsi en première ou deuxième page des résultats de recherche (SERP) pour de nombreuses requêtes.
  2. Analyse du comportement utilisateur. Google évalue les données comportementales à grande échelle, à la fois dans les SERP (via Navboost) et sur les sites (notamment via Chrome). Si les signaux indiquent que les utilisateurs sont satisfaits (temps passé, interactions, faible taux de rebond), la page conserve ou améliore son classement. Dans le cas contraire, elle risque de dégringoler. Des outils comme MyRankMetrics permettent d’analyser ces informations. 

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  • La mise à jour régulière des contenus est également un pilier d’un bon SEO. Les pages obsolètes ou “zombies” (contenus non actualisés, peu visités) nuisent à la performance globale d’un site. Un entretien fréquent des contenus est indispensable pour rester visible.
  • Le contenu humain n’est pas mort mais devient très cher comparé aux méthodes par IA.
  • Avec la montée des résultats “zéro clic” sur Google, l’inbound marketing centré sur le SEO perd en efficacité. Les marques doivent adopter une approche omnicanale, en intégrant d’autres leviers (réseaux sociaux, newsletters, etc.) pour capter et engager leur audience.

Pour Olivier Filloux  :

  • Comment s’adapter face à ces changements dans le SEO ?  Au-delà du SEO, il est important de diversifier les leviers d’acquisition pour ne pas être trop dépendant de Google via le branding, les réseaux sociaux, youtube...
  • Qu’est ce qui marche encore, et à l’inverse ce qui ne fonctionne plus ? En ce qui concerne le SEO, il est important de travailler toujours plus sur les critères EEAT,  c’est ce qui fonctionne encore et qui va prendre de l’importance. ’importance, avec des contenus de niche,et spécialisés.
  • A contrario le texte de mauvaise qualité n’a plus de chance de bien se positionner sur Google et sur les LLM (le contenu générique , blogging de masse sans stratégie…).
  • Quels sont les exemples et bonnes pratiques ? Il faut répondre à des intentions de recherche et à des questions avec des tournures de phrases plus conversationnelles ( parler directement à l’utilisateur “vous”); Posez des questions ouvertes ; Mettre l’accent sur l’aide, la clarté, la simplification, Éviter le vocabulaire trop technique sauf si nécessaire. 
    • Par exemple remplacer “Il existe plusieurs méthodes pour améliorer votre stratégie de contenu.” par  → “Vous cherchez à améliorer votre stratégie de contenu ? Voici quelques approches concrètes qui peuvent faire la différence.
    • “Il est recommandé d’utiliser une solution de marketing automation.” → “Si vous cherchez à gagner du temps tout en personnalisant vos campagnes, une solution de marketing automation peut vraiment être un atout.”
  • Les contenus 100% IA peuvent ils ranker dans Google ?  Oui Mais seulement si :
    • Ils sont utiles, uniques et apportent une véritable valeur. Ils vont être disponibles.
    • Tu as une relecture humaine pour éviter les erreurs et optimiser l’UX.
    • Tu ajoutes des éléments humains (exemples concrets, cas d’usage, ton distinctif).
  • Sur les pages de catégories de produit, dans certains secteurs, pour générer des descriptions de produits, cela permet à l’humain de se recentrer sur l’écriture de textes où il a plus de valeurs ajoutées et où l’IA n’a pas de réponses.
  • Le contenu Humain est-il mort ? Non mais : 
    • Contenu 100% humain de plus en plus rare,
    • L’humain peut / doit s’aider de l’IA pour écrire les contenus.
  • L’humain doit se concentrer sur les contenus où il a la valeur ajoutée et le savoir
  • L’inbound marketing basé sur Google est-t-il mort ?  Il faut penser en multi-canal : SEO + réseaux + newsletters + YouTube + podcast + IA (ChatGPT, Perplexity…)

Pour Luc :

  • Face aux évolutions du SEO, il faut avant tout s’adapter à l’intention de recherche et produire des contenus utiles, bien structurés et crédibles.
  • Ce qui fonctionne toujours : l’expertise, la profondeur de contenu, les signaux de confiance (E-E-A-T)…
  • Ce qui ne marche plus : le bourrage de mots-clés, les contenus superficiels ou 100% générés par IA sans valeur ajoutée.
  • L’IA peut aider, mais un contenu purement automatique aura du mal à ranker durablement s’il n’est pas enrichi par une vraie vision humaine.
  • L’inbound via Google n’est pas mort, mais il devient plus exigeant, il faut aller au-delà du texte et intégrer des formats riches, répondre aux vraies questions, et viser aussi à apparaître dans les réponses générées par l’IA.
  • Une bonne pratique : combiner analyse sémantique + IA pour l’efficacité, puis ajouter une touche humaine pour l’originalité.
  • Une erreur fréquente : publier beaucoup, mais sans stratégie ni différenciation.

Quel est le nouveau rôle du référenceur ?

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Pour Olivier Duffez.

  • Il est crucial de définir et d’ajuster constamment la stratégie SEO en s’appuyant sur une analyse continue des évolutions du paysage de la recherche.
  • Cela implique de tirer parti des opportunités offertes par l’IA et les nouveaux outils, en les intégrant efficacement dans les processus existants.
  • En exploitant davantage de données (analysées par l’IA), il devient possible d’affiner les approches, de se spécialiser et de se différencier des concurrents, tout en restant agile face aux changements.

Pour Fabien, met surtout en garde sur une chose : il gère des communautés en ligne depuis 15 ans, et les règles et les coups de bâtons des réseaux sociaux (basés à 90% sur des signaux navigationnels) sont bien plus violentes que celles de Google.

Pour Luc:

  • Le métier tel qu’on le connaissait est en danger si on ne s’adapte pas. Il faut aller vers plus de marketing, comprendre les enjeux business, maîtriser les nouveaux outils.
  • Le rôle du référenceur évolue fortement, il devient un stratège de la visibilité.
  • Face à l’IA, le job n’est plus juste de positionner des mots-clés, mais de comprendre l’intention, piloter des contenus hybrides (IA + humain) et d’optimiser la présence dans les nouveaux moteurs IA, et renforcer l’autorité des sites.
  • Le référenceur est chef d’orchestre avec la data, contenu, technique, UX, tout est lié.
  • L’IA automatise, mais les référenceurs donnent la direction, garantissent la qualité, et font la différence sur ce que l’IA ne sait pas encore bien faire, c’est à dire la nuance, l’émotion, et la stratégie.

Pour Olivier Filloux  : 

  • Il faut accompagner les entreprises dans la transformation de la recherche digitale (multiplication des modes de recherche et des mediums).
  • Aller au delà des mots-clés pour répondre aux questions et faire attention aux intentions de recherche
  • Penser encore plus EEAT

Comment adapter ses stratégies pour être visible sur ChatGPT et les autres moteurs d’IA ? Est ce vraiment pertinent versus le SEO ?

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Pour Olivier Duffez : 

  • La visibilité sur les moteurs de recherche basés sur l’IA devient un enjeu stratégique pour les marques avec la montée de l’adoption par les internautes.
  • Négliger cet axe serait une erreur majeure.
  • Actuellement, leur impact semble limité. Cependant, le trafic n’est plus nécessairement le KPI le plus pertinent, les moteurs IA ayant tendance à privilégier des réponses directes plutôt que des liens vers des sites.
  • Le SEO évolue vers une dimension davantage marketing et moins technique.
  • Les marques doivent désormais se concentrer sur leur présence dans les mentions, notamment via les sources (sites) référencées par les moteurs IA.
  • Il est également essentiel d’analyser les sentiments exprimés dans ces mentions pour comprendre ce que les consommateurs, ou les IA elles-mêmes, “pensent” de la marque.
  • Bien que les moteurs IA comme ChatGPT ou Perplexity soient souvent opposés à Google ou Bing, ces derniers tendent eux aussi à évoluer vers des interfaces conversationnelles de type chatbot.
  • S’adapter aujourd’hui aux moteurs IA, c’est donc anticiper l’avenir de Google et des autres moteurs traditionnels.
  • Olivier a expérimenté l’indexation sur ChatGPT, Copilot et Perplexity avec son outil RM Console, qui s’appuie sur les API de Bing (IndexNow et Submission API). Les résultats sont probants : ces moteurs IA s’appuient sur des moteurs de recherche classiques pour enrichir leurs données d’apprentissage avec des contenus récents, ce qui souligne l’importance de maintenir une stratégie d’indexation optimisée.

Pour Fabien : 

  • L’idée pour une marque est d’être visible et citée positivement partout où elle le peut, c’est la base de la communication.
  • La question est vraie sur ChatGPT, à la TV, dans la rue, sur les réseaux sociaux, etc. La place que votre marque ne prend pas sera prise par votre concurrent.
  • J’ai un trafic significatif provenant de Perplexity et de ChatGPT. Une clef consiste à être bien référencé sur Bing (aujourd’hui) la base étant de mettre ses sites sur Bing Webmaster Tools, et de publier des contenus pertinents, fréquents, à jour. Rien de neuf de ce coté.
  •  La question fondamentale reste : “Est-ce que mon contenu apporte une vraie valeur à un humain ?” Si oui, les moteurs (et les IA) finiront par le reconnaître.

Pour Luc :

  • C’est un enjeu complémentaire au SEO classique. Ce n’est pas encore indispensable pour tous, mais de plus en plus pertinent, surtout si l’audience du site concerné cherche de l’info, des conseils ou compare des options.
  • Pour émerger, il faut miser sur l’autorité (mentions, citations, backlinks), structurer ses contenus (FAQ, données claires) et être présent dans des sources fiables que l’IA peut exploiter.
  • Ce n’est pas à la place du SEO, c’est une extension, on parle maintenant de ‘search élargi’, où il faut exister autant dans Google que dans les réponses des IA.

Pour Olivier Filloux :

  • Le GEO (Generative Engine Optimization) est le prolongement du SEO classique vu que les LLM vont chercher l’information sur les index de recherche.
  • Il faut revoir sa stratégie de contenus en répondant davantage  aux intentions de recherche, structurer le contenu avec des listes, des tableaux
  • Soigner son autorité et sa crédibilité : être mentionné, recommandé, cité (sur d’autres sites, LinkedIn, etc.) augmente les chances d’être repris. 
    • → Stratégie de “content PR” + articles de netlinking de qualité.
    • → Reddit pour UK ou USA
  • Surveiller les sources utilisées par l’IA sur les requêtes cibles (éventuellement faire de l’affiliation)
  • Au niveau technique, il est important d’avoir un site bien crawlable, rapide(indexnow, taille des pages…), utiliser des schémas.

Cependant la question à se poser, c’est  si c’est vraiment pertinent versus le SEO ? 

  • Les IA sont de nouveaux points d’entrée pour l’information (notamment pour les questions précises, les comparaisons, les synthèses).
  • Elles remplaceront complètement Google sur certaines requêtes.
  • Attention tout de même, les sessions aujourd’hui générées par les IA sont peu nombreuses comparées à celles générées par le SEO Classique.
  • Faire du GEO maintenant permet de mettre en place les fondations solides pour le futur du Search
  • Cependant il faut s’attendre moins de clics directs. Le trafic venant de l’IA pourrait être plus qualifié (taux de conversion x4 selon une étude citée par Olivier).
  • Le trafic “branding” (les gens cherchent directement la marque sur Google après l’avoir vue dans une réponse IA) pourrait augmenter paradoxalement (selon Olivier D.).

Jean D’Alessandro qui assistait au webinaire indiquait que sur 3 sites de ses clients, de 3 à 5% de visiteurs venaient de perplexity mais quasi rien des autres LLM.

Quels sont les outils d’IA que vous recommandez pour le SEO ?

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Pour réaliser ce résumé de la conférence, voici ce que j’ai utilisé

  • 90% du texte vient des notes de préparation du webinaire, que j’ai juste copié, remis en forme et légèrement ré-écrit.  Sauf pour les parties d’Olivier Duffez car il avait posté ses notes sur Linkedin, et donc pour éviter un éventuel “duplicate content”, j’ai demandé à Grok de ré-écrire le texte (que j’ai tout de même ré-écrit et relu).
  • Sur les conseils de Fabien, j’ai réalisé avec Google Gémini le résumé (TL;DR) au début de l’article, ainsi que le résumé de sa présentation des deux cas. Le résumé était quasi parfait, je n’aurais pas fait beaucoup mieux ! J’ai aussi interrogé Gémini pour la partie outils pour lequel je n’avais pas de notes.
  • Gémini m’a proposé un résumé de la conférence, mais personnellement je l’ai trouvé trop fade pour l’exploiter et le copier coller.
  • Les images ont été générées par Mistral & ChatGPT, et Napkin.ai pour les schémas.

Concernant les outils, selon nos experts, le choix est vaste et en constante évolution, et aucun véritable outil ne surclasse les autres.

  • Il y a les incontournables comme ChatGPT (OpenAI), Gemini (Google), Claude (Anthropic), Perplexity.

  • Les Challengers comme Grok (mentionné par Fabien et Fred), Mistral (le français, performant, open source pour certains modèles, potentiellement auto-hébergeable), DeepSeek (chinois, bon en copywriting et en créativité).

  • Outils Spécialisés Français cités dans le chat par certains auditeurs de la conférence comme TextBulker, Skoatch, Wisewand, Le Scribouillard…

  • La Philosophie de Fabien. Le paysage change trop vite. Le meilleur outil est celui qu’on maîtrise. La qualité du prompt est clé. L’idée n’est pas forcément de trouver LE meilleur LLM, mais celui qui répond bien à son besoin.

  • L’Astuce de Fabien consiste à faire de la cross-Vérification. Faire relire un contenu généré par une IA (ex: ChatGPT) par une autre IA axée sur la recherche/vérification (ex: Perplexity ou une IA chinoise). C’est plus efficace que de demander à la même IA de se corriger indéfiniment. C’est l’idée des “agents IA” qui communiquent.

  • La vision critique de Luc.  Beaucoup d’outils “français” ou “souverains” sont en fait entraînés ou hébergés sur des infrastructures utilisant les technologies dominantes (GPU, souvent entraînées avec du ChatGPT…). Il met en garde contre une “guerre de mauvaise foi” et insiste sur le besoin de vraies compétences techniques fondamentales plutôt que de juste choisir un outil en surface.

  • L’approche multi-outils (Olivier Filloux.). Utiliser différents outils selon le besoin (Mistral pour la rapidité, ChatGPT pour le complet, Perplexity pour la recherche, Gemini pour les sources).

Nous avons néanmoins abordé l’aspect écologique.

Mistral semble plus léger et moins gourmand en énergie. Auto-héberger des petits modèles pour tâches simples est une option.

Le site comparIA  montre que DeepSeek n’est pas forcément moins gourmand en inférence que les autres.

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De même, une requête Google est 10 fois moins d’énergie qu’une requête IA sur un sujet.

Concernant les outils, je vous recommande aussi Semrush (essai gratuit 7 jours sur ce lien).

Le SEO face à l'IA, une nouvelle fois vers la mort du SEO ? Pas si sûr ! Voici comment survivre (et même cartonner) 14

Ses nouvelles fonctions de suggestions de mots clés en mode cocon sémantique, avec des idées de thématiques faciles et / ou à fortes conversions sont vraiment complémentaires aux outils d’IA classiques.

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En quelques secondes, vous avez une structure de mots clés à construire avec les pages, le potentiel, les mots clés…

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Vous avez ensuite des idées de mots clés et de pages à construire par thématique :

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Semrush est vraiment simple à utiliser, la vrsion d’essai 7 jours vous permettant déjà de faire une analyse complète de votre site.

S’il n’y avait qu’un seul conseil à retenir pour améliorer son SEO ?

chat GPT et IA

Voici les conseils essentiels à retenir selon les intervenants :

  • Luc M. 

    • Structurez votre texte pour qu’il soit hyper lisible et scannable, les gens  (en particulier les jeunes générations) ne font plus d’efforts de lecture.

    • Vous devez mettre en place des FAQ, images, phrases courtes…

    • Devenez une source ou un contenu de référence afin d’être listé dans Google ou les moteurs d’IA.

    • Pour cela, il faut des contenus fiables. Pensez aussi local.

  • Olivier Duffez.

    • Exploitez la mine d’or de la Search Console pour comprendre votre audience, c’est là que vous avez le plus de sources de croissance pour améliorer votre SEO existant et comprendre ce que recherchent les internautes.

    • Enfin, testez, testez, testez vos optimisations.

  • Fabien Elharrar 

    • Utilisez l’IA pour vérifier et fiabiliser les contenus générés par les IA.

    • Par exemple demandez à une IA comme Chat GPT ou Grok de rédiger un texte, puis demandez à Perplexity de vérifier le contenu et d’améliorer le texte, cet outil étant bien plus fiable sur les sources.

    • Ne cherchez pas à plaire à Google, mais à l’utilisateur final, c’est le plus important, Google accorde de plus en plus de place aux signaux humains (trafic poussé sur la page, temps passé…) pour vérifier qu’un contenu plait, car c’est ce qui compte le plus.

  • Olivier Filloux.

    • Ne mettez pas tous vos œufs dans le panier, faites du SEO, mais diversifiez aussi vos sources de trafic avec des réseaux sociaux, des ads…

C’est quoi un contenu E-E-A-T ?

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Lors du webinaire, les experts ont parlé du concept E-E-A-T de Google.
L’acronyme E-E-A-T est un cadre utilisé pour évaluer la fiabilité et la qualité d’une page web afin de déterminer son classement dans les résultats de recherche.
Il correspond à :
  • Expérience
    • Elle reflète l’expérience pratique de l’auteur ou du créateur de contenu dans le domaine abordé.
    • Un auteur ayant une expertise de longue date dans un sujet est jugé plus crédible.
    • Par exemple, un blog sur le marketing actif depuis cinq ans sera considéré comme plus fiable qu’un blog récemment créé.
  • Expertise
    • Il évalue le niveau de connaissances spécialisées de l’auteur.
    • Les contenus doivent offrir une réelle valeur ajoutée, avec des informations pertinentes et approfondies.
    • Par exemple, un article rédigé par un humain, enrichi d’exemples originaux et de références vers des sources fiables (comme des sites institutionnels), surpasse un contenu purement généré par IA avec des exemples génériques.
  • Autorité
    • L’autorité concerne la réputation du créateur de contenu, du site web et du contenu lui-même, notamment à travers les liens entrants.
    • Par exemple, un site comme Wikipédia, bénéficiant d’une forte reconnaissance et de nombreux backlinks, est jugé plus autoritaire qu’un site récent sans historique ni liens externes.
  • Fiabilité (Trustworthiness)
    • Ce pilier mesure la confiance accordée au contenu, en tenant compte de l’exactitude et de la fraîcheur des informations, de l’absence de liens brisés, ainsi que de la sécurité du site (HTTPS, par exemple).
    • Un contenu fiable repose sur des données vérifiées et un site techniquement irréprochable.

En respectant ces quatre dimensions, les sites peuvent renforcer leur crédibilité aux yeux de Google et améliorer leur positionnement dans les résultats de recherche.

Consultez le replay et les slides de la conférence sur le SEO et l’IA

Voici le replay de la conférence sur le SEO et l’IA :

Et voici les slides de la conférence :

Vous voulez en savoir plus sur nos intervenants ?

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Voici les informations sur les 4 intervenants à cet atelier :

Olivier Duffez : Consultant SEO depuis + de 20 ans, il accompagne ses clients à court ou long terme. Il a créé WebRankInfo en 2002, un site d’information et 1ère communauté SEO francophone. Il est également cofondateur de MyRankingMetrics (outils SEO en SaaS utilisés par + 2000 clients). Il a formé des milliers de personnes au SEO pendant 15 ans. Il intervient régulièrement dans des conférences en tant qu’expert SEO.

Fabien ElHarrar  : Ingénieur en mécanique (Arts et Métiers) avec un MBA (ESSEC) en marketing. Il a commencé sa carrière par 10 ans de conseil en management. Depuis 12 ans il est éditeur web avec un réseau de site (voir pxnetwork.fr). Il a été influenceur tech, journaliste avec carte de presse, avec de la gestion de communautés de plus de 2 millions d’abonnés. Depuis 2020, il intervient auprès de PME sur des missions digitales variées et il développe des outils IA, SEO, Data. 

Luc M. : CONSULTANT SENIOR / PHD (Professionnel Hautement Digitalisé). Chief Marketing Officer chez KoDDoS (sécurisation de site web) après être passé par Qwant ou encore Magnolia depuis une quinzaine d’années chez Web Portage comme consultant Web. Par ailleurs, il a récemment lancé le projet “J’aime ma région” qui met en valeur nos régions, et il s’y consacre désormais à ¾ de son temps de travail en se concentrant sur le journalisme dans un but principal de référencement local/

Olivier Filloux : Référent GEO (Generative Engine Optimization – optimisation pour les moteurs d’IA) chez Eskimoz, une agence internationale spécialisée dans le marketing digital.  Il fait du SEO depuis 2009, et il est passionné par la tech et l’innovation, ce qui l’a poussé à explorer ce qui représente, selon lui, le plus grand tournant digital à venir : l’intelligence artificielle. Aujourd’hui, en plus du SEO,  il aide les marques et les autres consultants et content stratégistes à se positionner dans les LLMs comme ChatGPT, Perplexity, au-delà du SEO traditionnel.

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