Comment produire du contenu et écrire des livres sans s’épuiser ?
Dans un entretien de 50 minutes avec Mikael Messa, j’ai abordé un sujet qui est important pour de nombreuses personnes :
- Comment produire du contenu et des textes sans y passer ses jours et ses nuits
- Comment écrire un livre, que cela soit un roman personnel, ou un livre blanc pour son business.
- Comment le réaliser et le vendre
- Comment le faire connaître
Dans la 1er partie de ce dossier, nous allons parler de la création de contenu.
Le point de départ vient d’un défi que je me suis lancé en début d’année : écrire un livre par mois et de le publier, pour soit l’offrir ou le vendre.
Pour tenir ce défi, j’ai mis en place une stratégie d’écriture pour écrire mieux, plus vite et sortir plus rapidement des livres, mais pour faire connaître ces contenus.
Parce qu’écrire, publier c’est une chose, mais le principal problème c’est de se faire connaître.
Parce qu’on a beau écrire le meilleur roman ou le meilleur guide pratique au monde, si personne ne le lit, ça ne sert à rien…
Sommaire de l'article
1 – Est-ce que tout le monde peut écrire des livres, articles… ?
Parfois une des questions que l’on me pose “Comment faire pour devenir écrivain” ou “comment tu fais pour écrire autant de contenus” ou “moi j’arriverai jamais à écrire comme cela, c’est pas pour moi”…
Pourtant il faut savoir que tout le monde peut devenir écrivain ou blogueur ou tout simplement créateur de contenus.
Par exemple quand j’étais petit, j’étais plutôt réfractaire à l’écriture : Je ne lisais quasiment pas de bouquins, j’étais hyper mauvais en orthographe (d’ailleurs il y en a encore quelques traces car il y a encore quelques fautes qui traînent souvent dans mes articles).
J’ai connu la lecture et les livres lorsque j’avais 14-15 ans grâce à un super prof qui m’a fait découvrir les livres de science-fiction (Merci Mr Auregan !)
Tout d’un coup, bam, ça a été le changement. Et avant je ne lisais jamais un livre (car à l’école on nous demandait de lire des auteurs “classiques” chiants à mourir !), et là je suis passé à un livre tous les 3-4 jours à cette époque-là.
Ce qui est important à retenir, c’est que rien n’est écrit !
Si maintenant vous n’êtes pas bon en orthographe, vous n’êtes pas bon en écriture, vous n’aimez pas la lecture… Il suffit d’avoir le déclic et vous pouvez le faire.
Le truc, ’est d’avoir le déclic, de trouver la motivation.
Tout démarre avec un déclic en fait… moi pour la lecture et l’écriture cela a été grâce à un prof.
À chaque fois comme on le dit, c’est une rencontre, c’est une histoire qui nous fait prendre une nouvelle orientation.
Et tu te dis, waouhhhh, c’est exactement ça, j’adore, c’est génial.
C’est pour cela qu’il faut rester ouvert. Quand on voit quelque chose qui vous inspire, il faut y aller vraiment au maximum et c’est ce que j’ai fait.
Après c’est pareil pour le blog en fait.
Pour moi le blog a été créé à l’origine parce que je voulais créer une start-up avec des amis, je m’occupais du Marketing et eux de la partie technique.
Et en fait ça n’avançait toujours pas, mais en attendant je commençais à préparer le lancement du site.
Et le fait est que je prenais des notes partout, j’avais des notes sur un calepin, j’avais des notes dans un fichier, et puis je me disais que j’arriverai jamais à retrouver tout, en plus ces contenus concernaient le référencement, l’eMarketing… et j’avais besoin de rassembler mes notes.
Et donc je n’allais pas me balader avec toutes mes notes : c’est pour cela que j’ai créé un blog Conseils Marketing, à l’époque sur Blogspot car je ne voulais pas gérer la partie technique.
A partir de ce moment là, j’ai mis systématiquement mes notes sur mon Blog, ce qui m’a permis d’avoir toutes les informations sous les yeux où que je sois.
Finalement le projet ne s’est pas fait, mais c’était assez motivant, et donc j’ai continué à gérer le blog.
Mais comme tu disais, il faut avoir le déclic et surtout se lancer et oser !
Moi, j’ai comme philosophie de me dire de ne pas avoir de regrets.
Quand il y a beaucoup de gens qui se disent « bah je ne devrais pas faire ça parce que ceci, parce que cela… » Et après ils se disent « mais j’aurais dû le faire, j’aurais dû créer ma boîte ou j’aurais dû aller voir cette fille ou j’aurais dû oser demander à mon boss »…
Pour ne pas avoir ce genre de regrets, il oser et se lancer !
Mieux vaut vivre avec des échecs, qu’avec des regrets.
2 – Ecrire du contenu c’est bien, mais il faut obtenir l’effet Whaouuuu !
Pourquoi en fait est-ce que j’ai cette stratégie d’écrire un eBook par mois ?
Tout simplement que je me rend compte que désormais avec l’infobésité, écrire du bon contenu sur son blog, et même écrire régulièrement du bon contenu ne suffit plus.
Pour rester dans la course, il faut plus que simplement écrire du bon contenu tous les jours.
Il faut vraiment créer ce que j’appelle des moments, des évènements.
Un évènement en fait, c’est soit une infographie, soit une vidéo, soit un bouquin…. un contenu qui fasse que les gens se disent « Wououah », c’est vraiment un super contenu.
Il faut vraiment maintenant chercher l’effet « waouh ».
Parce qu’il y a tellement de gens qui écrivent, il y a tellement de contenu que ça devient la folie.
Et j’ai lu dans un bouquin que d’ici à 2020, donc grosso modo dans 4/5 ans, le contenu aura augmenté de 600%.
Nous sommes presque déjà à une saturation contenu, alors je ne sais pas si tu imagines dans 5 ans : il y aura tellement de gens qui vont produire du contenu (entreprises, particuliers…), que si ton contenu n’est pas extraordinaire, exceptionnel, tu resteras à vide.
Cependant, créer du contenu ne suffit pas.
Certes, le référencement naturel est influencé par le contenu produit, mais aussi par les liens obtenus depuis d’autres sites et les Media Sociaux.
Il faut chercher des liens… le meilleur moyen d’obtenir des c’est de créer l’évènement et de provoquer l’émotion.
Et l’émotion se fait avec l’effet « waouh » et l’effet « waouh » c’est proposer quelque chose qui est extraordinaire.
3 – Comment écrire du contenu, un livre… et surtout du contenu intéressant ?
La question suivant est de savoir comment créer du bon contenu…
Moi j’ai j’ai deux méthodes.
La première c’est d’exploiter le contenu déjà produit… ou de créer son contenu petit à petit…
Par exemple, j’ai un blog qui date de 2006 et je me suis rendu compte que j’ai une masse de contenu de qualité, qui en fait quelque chose d’exceptionnel.
Par exemple, il n’y a pas très longtemps, j’ai sorti un bouquin de 100 pages qui s’appelle “Le kit de survie de l’e-commerçant“.
Tu vas me dire, c’est toi qui a écrit les 100 pages de ce bouquin ?
En fait non… j’ai quasiment rien écrit des 100 pages.
C’est simple, j’ai pris des articles qu’il y avait déjà sur le Blog, j’ai changé un petit peu la mise en forme, actualisé les textes qui le nécessitaient… et voilà cela m’a fait un eBook !.
Et ce livre, je l’utilise pour gagner de l’argent, parce qu’il y a des liens vers des produits d’affiliation.
J’ai trouvé cette solution, car je vois bien que les articles “seuls”, cela marche de moins en moins, même s’ils sont bons.
L’autre intérêt de créer un eBook PDF ou un guide bonus, un livre blanc, un extrait d’un livre… c’est que vous pouvez créer une liste de prospects ou de fans.
En effet, avec un article, les internautes lisent l’article, le trouvent sympa, mais ils repartent… et ne reviennent plus.
Pour créer une liste de prospect, l’astuce est de leur offrir un guide gratuit, pour créer une liste de prospects, et ensuite ils partent dans un tunnel de vente, ce qui permet de vendre ses produits.
Cette technique fonctionne bien si vous avez un “fond éditorial”, en allant les chercher dans des vieux articles de quoi faire un livre.
Cette technique est vraiment efficace : chercher des articles sur votre site, les compiler, le but est d’avoir 80% du contenu et de n’écrire que 20%.
La deuxième solution, c’est de faire des séries d’articles pour construire le livre par étapes.
En effet, écrire un bouquin de 50-100 pages, c’est long, c’est compliqué, et donc ce n’est pas à la portée de tout le monde.
Tout simplement car l’effort initial est trop important : on se dit « il faut que je fasse le plan, faut que je sache ce que je vais dire, etc., etc. »
Ce que je fait, c’est que je crée une série d’article sur une thématique sur une longue période (avec un plan ou une idée pré-définie), puis je regroupe cela en en livre.
Je te donnerai un exemple, j’ai écrit un bouquin qui s’appelle “Les 112 Secrets des as de la vente“.
C’est un travail que j’ai fait pendant 1 an : j’ai écrit à peu près 10 conseils par mois.
Et à la fin je me suis dit “Bon allez, je suis arrivé à 100, allez ça suffit, je fais un bouquin.” Et donc cela permet d’écrire tranquillement mon contenu et de le compiler à la fin dans un guide.
L’effort est donc plus dilué, plus faible.
Troisième solution, c’est de sous traiter une partie du travail à faible valeur ajoutée, en particulier la saisie de documents.
Par exemple j’ai un iPhone, et j’utilise une application mobile qui s’appelle AudioBoom qui permet de parler dans ton téléphone et de faire un « podcast ».
On peut faire la même chose avec SoundCloud qui permet d’enregistrer sa voix en ligne de manière très simple depuis un PC ou un Smartphone.
Ce sont deux applications de podcasts.
Mais le but est de “détourner” l’utilisation, car à l’origine ce sont des applications où les gens sont devant leur micro et sont en train de parler comme on le ferait à la radio.
Or comme dans un blog, c’est compliqué de se faire connaître.
Donc l’objectif avec AudioBoom, ce n’est pas de faire du contenu avec des Podcasts, mais de sous traiter la transcription des textes que vous avez enregistré.
Si vous regardez sur mon compte sur AudioBoo.com/conseilmarketing, vous verrez plus de 600 podcasts en deux ans.
En fait, tous les matins, quand je vais au boulot, je prends mon application de Smartphone et j’enregistre un texte pour la transcription en texte.
Ce qui est bien avec AudioBomo, c’est qu’Audioboom est limité à 10 minutes d’enregistrement, donc cela t’oblige à respecter un standard de 10 minutes.
Cela permet de créer du contenu simplement et facilement n’importe où et n’importe quand, on peut même faire des pauses.
D’ailleurs parfois vous m’entendrez parler, je suis sur le trajet, vous entendrez des voitures, on m’entend ouvrir des portes, prendre l’ascenseur…
Mais le but, c’est de créer rapidement du contenu.
Comme je sais qu’il y a à peu près 5 à 10 minutes entre chez moi et le RER, je peux réaliser un contenu tous les jours .
Grâce à cette technique, je réalise un article en audio grâce à mes notes.
J’utilise l’application Evernote pour prendre mes notes et structurer mes idées.
Grâce à mes notes, j’ai une trame de ce que je veux dire.
Donc tout le monde peut créer ainsi énormément de contenu pour un livre, un blog… :
- dans le train
- dans ta voiture avec un kit mains libres
- dans les embouteillages,
- entre deux rendez vous
- lors d’une pause déjeuner
- …
Il suffit de prendre 2 minutes à réfléchir à ses idées, puis de dire “aujourd’hui je vais vous parler de ceci de cela, bla bla, etc., etc.”
Et ce qui est intéressant, c’est qu’on avec quelques notes synthétiques, cela va très vite, car souvent on connait son sujet.
C’est comme, si vous étiez en train de discuter avec des amis et leur donner des conseils.
Une fois que c’est fait, il ne reste plus qu’à retranscrire le texte par un rédacteur ou une personne en offshore.
De mon côté j’utilise un assistant virtuel pour transcrire mes textes, cela me coûte à peu près cinq dollars les 500 mots.
Cela veut dire, que cela coûte, 5 à 10 $ pour retranscrire 10 minutes de podcast, parce qu’en 10 minutes vous faites vraiment un bon contenu.
Pour la logistique, je mets tous les liens vers les fichiers AudioBoom (j’en ai 600 !), dans un fichier Excel partagée avec une personne en offshore.
Ensuite je reçois les fichier texte via un répertoire partagé sur Google drive.
Souvent vous trouvez des personnes meilleures que vous en orthographe, et de réduire toutes les fautes.
Ensuite je vais faire un copier-coller du contenu obtenu sur mon blog, et ensuite on peut compiler le tout dans un eBook.
Cette méthode est vraiment simple et efficace.
Si vous n’avez pas les moyens financiez, alors vous pouvez utiliser des outils de dictée vocale comme Trint.com ou celui intégré à Google Docs ou Word.
Dans Google docs c’est gratuit, c’est une simple option à activer :
Ces outils permettent de faire de la dictée vocale.
Avec Trint, vous payez à la minute de transcription.
Cependant il faut quand même passer du temps d’apprentissage et la relecture, car il faut un certain moment pour que cela fonctionne correctement.
Le plus simple étant d’utiliser Google Docs pour faire de la transcription vocale. Ainsi on peut parler à son ordinateur et obtenir un texte.
Cela fonctionne bien si votre texte n’est pas trop technique.
C’est surtout bien pour tous les gens qui ne savent pas taper rapidement au clavier.
Bien sûr cela ne retranscrit pas le texte à 100 %, mais cela fonctionne bien quand on a des textes simples, et cela permet d’écrire des textes au kilomètre et de faire de la relecture.
Dans le cadre d’un Blog, il faut savoir qu’il y a ensuite toujours un retravail ensuite pour mettre des images, pour rajouter du texte…
En effet en audio on ne pense pas à tout, ou encore la personne qui fait de la transcription n’a pas toutes les connaissances.
De même il s’agit d’un texte qui est très parlé, il faut donc le retravailler.
Pour trouver des personnes qui font de la transcription vous avez plusieurs services :
- …
Il faut donc en essayer plusieurs pour trouver le bon rédacteur.
Généralement j’en essaie 5 :
- Il y en a deux qui vont te voler et qui ne feront jamais le travail
- deux qui seront moyens en orthographe.
- Un qui sera vraiment bon.
Donc sur les cinq grosso modo tu en auras un qui sera bon.
Donc pour les premiers tests, cela coûter au moins 25 $ pour faire ses premières transcriptions de 500 mots.
Ensuite cela sera dans les 5 $ pour 500 mots.
Après tu peux avoir des tarifs intéressants, en prenant des forfaits : vous payez un forfait entre 200 et 300 € par mois.
Avec cela vous avez un forfait de 30 ou 40 heures, c’est comme que l’on baisse les prix.
Car l’achat à l’unité, va être assez cher or avec un contrat récurrent, c’est vraiment beaucoup plus efficace et plus rentable.
Mais en tant qu’auteur, il faut quand même d’apprendre à taper plus vite au clavier.
Il y a un logiciel gratuit sur Internet qui s’appelle http://www.keybr.com/ :
C’est vraiment important d’apprendre à taper au clavier.
Surtout parce que les gens ne savent pas bien positionner leurs doigts sur un clavier, car en s’entraînant un quart d’heure une demie heure par jour, au bout de 2-3 semaines, vous avez quand même une progression qui est quand même important.
A noter : on peut aussi sous traiter la rédaction d’articles. Là encore quand on fait écrire des articles en sous traitance, on ne fait pas écrire un seul article, on fait écrire 10 à 40 articles, donc du coup c’est vrai que c’est plus facile de négocier .
Bien entendu, vous pouvez aussi faire retranscrire vos vidéos parce que, vidéo ou audio c’est la même chose.
Par contre dès que l’on a besoin d’un texte en français, avec de la réflexion de la valeur ajoutée, tu es obligé de payer et tu passes par quelqu’un aux tarifs français.
En effet c’est un travail totalement différent.
La transcription c’est vraiment bête et méchant, il y a juste besoin de connaître le métier pour le faire.
C’est ce qui fait la différence entre pourquoi passer en France, pourquoi en fait passer à l’étranger pour transcrire ou écrire un texte.
Et par exemple j’ai un site sur le CRM, qui est un sujet technique, et là je passe par un français, parce que quand je demande d’écrire un texte sur qu’est-ce que c’est que le CRM, pourquoi il faut mettre CRM plutôt que CRP… un rédacteur off shore ne peut pas le faire.
Là il faut de l’expertise, et donc tu vas payer entre 50 et 75 € l’article.
Et moi par exemple moi quand j’écris un article, c’est 600 € pour un article d’à peu près 1000-1500 mots.
Pourquoi ?
Parce que je mets de la valeur.
Par exemple je travaille en sous-traitance de création de contenus pour un site qui est sur le B2B, mon prix c’est 350 € par article.
Et avec ce contenu-là, mon client va pouvoir en faire un livre blanc.
Pour justifier mon prix, il y a aussi relais via mes comptes sur les médias sociaux.
Ainsi mes clients ont non seulement un super article, mais en plus ils peuvent créer un livre blanc, et obtenir un relais sur les médias sociaux.
Là tu vois tu en as pour ton argent. C’est pas du low-cost là c’est de la valeur ajoutée.
4 – Comment apporter plus de valeur ajoutée dans ses contenus ?
Quand tu veux ajouter de la valeur, il faut que tu crées plus qu’un simple texte.
La première chose c’est la mise en forme.
Il faut bien formater :
- des paragraphes,
- des étapes,
- des puces
- etc.
Ensuite tu rajoutes des images.
Alors quand je fais du contenu simple, je tape les mots clés sur Internet, et je clique sur image.
Et ainsi je trouve des images sur ma thématique.
Ça c’est le low-cost.
Quand je travaille sur plus valeur ajoutée,j’utilise des des sites Internet comme canva.com ou piktochart.com, et ainsi je peux réaliser des mini infographies.
Par exemple avec Canva, quand il y a une citation qui est vraiment intéressante, je copie colle la citation dans Canva, et ça me fait en fait un petit poster, une petite vignette que je peux poster dans les médias sociaux.
Et Piktochart, je prends par exemple des modèles d’infographie, où j’en crée une, et ça me permet en fait d’avoir un truc un peu plus design.
Je pourrais très bien les faire par PowerPoint, comme je faisais auparavant, mais le rendu était parfois un peu moyen.
Ce n’est pas de l’infographie professionnelle, mais ça te permet de faire quelque chose qui est beaucoup plus intéressant.
Après je fais encore du PowerPoint pour des graphiques simples:
J’ajoute aussi des vidéos dédiées dans les articles.
Par exemple si tu regardes mon dernier article “Vérifiez en cinq minutes si votre référencement est bon ou à chier“, j’ai ajouté un powerpoint et des vidéos.
J’essaie aussi de mettre de l’émotion, dans le titre et dans le contenu.
C’est aussi ce qui fait la différence.
Je m’en suis rendu compte au bout de quelques années, que les contenus “Corporate” assez neutres, ne fonctionnent pas aussi bien.
Je me suis rendu compte que si tu ne mets pas d’émotion, les gens n’accrochent pas.
Il y a 4/5 ans j’écrivais du contenu très Corporate, maintenant j’essaie de mettre de l’émotion dans mes articles.
Par exemple avec le titre, les gens vont se dire “j’ai envie de le lire”.
5 – Réutilisez votre contenu selon les medias
Par exemple si vous faites une présentation powerpoint pour un événement, copiez collez les informations dans un article.
Cela permet d’avoir un triple contenu et une triple visibilité:
- un article de blog,
- un PPT sur Slide share,
- une vidéo sur YouTube.
Par exemple Lundi j’avais animé une conférence avec SemRush, qui est un outil de référencement.
J’ai pris donc la présentation de la conférence sur mon site, j’ai fait un résumé texte, et j’ai mis la vidéo sur YouTube.
Cette fois fois je n’ai pas voulu faire une transcription, parce qu’une heure de transcription cela fait quand même beaucoup.
Donc en fait j’ai copié les principaux points que j’ai remplis un petit peu avec du texte.
Mais comme j’ai mis la vidéo en autoplay tout en haut, les gens ont déjà tout le contenu et ils peuvent l’écouter/
En effet sur YouTube, il faut vraiment se dire qu’à part les YouTubers Stars, tu as plus de chance d’avoir beaucoup de trafic.
Si tu regardes les vidéos “classiques”, elles font 25 à 50 vues .
Sur YouTube il y a beaucoup beaucoup de contenu qui est publié, donc c’est un vrai travail.
C’est un travail en fait de pouvoir travailler ses mots clés, de créer un volume de vidéos…
C’est comme dans le référencement naturel, plus tu feras de vidéos, plus tu es visible.
Il y a une petite astuce : c’est de les mettre sur Facebook, cela génère autant de trafic que sur Youtube.
Ainsi grâce à Facebook, tu peux doubler tes vues.
Sur Facebook, il va y avoir l’autoplay, c’est-à-dire que les gens vont scroller sur ton profil ou sur ta page, et la vidéo va se lancer automatiquement.
En plus tu peux modifier bien l’intitulé, les liens identifier des gens dessus…
Quand tu fais une interview, tu vas la mettre sur ta page ou sur ton profil, tu m’identifies dedans, choses que l’on ne peut pas faire avec YouTube.
Ainsi la vidéo va apparaître dans mon journal, mes amis vont voir que tu as mis une vidéo de moi sur Facebook..
Fin de la 1er partie
Retrouvez dans la seconde partie sur ce lien, des astuces Facebook, comment réaliser un livre ou un eBook…