Le Syndicalisme 2.0 – Cas pratique d’un syndicat qui fait sa transition numérique – Partie 1

Le Syndicalisme 2.0 - Cas pratique d'un syndicat qui fait sa transition numérique - Partie 1 3

Guillaume, notre invité d’aujourd’hui va nous parler de l’utilisation des médias sociaux dans le cadre d’un syndicat d’une entreprise qu’on ne citera pas mais il va nous parler des conseils pratiques pour l’utilisation des medias sociaux pour un syndicat.

Peux-tu nous expliquer comment cela se passe avant avec les syndicats avant d’utilisation des medias sociaux ?

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G : Au départ, l’activité principale est le tractage auprès des salariés, des réunions, des assemblés généraux, des permanences qui sont faites sur les locaux des syndicats représentatifs au sein des entreprises.

On était vraiment dans la culture de la proximité avec la culture de l’écrit.

Les plupart des syndicats sont restés dans ce qui se faisait aux débuts du syndicalisme…

F : D’ailleurs, je crois que c’est un souci dans ton syndicat, ils nous disent que les syndiqués n’utilisent toujours pas les réseaux sociaux car les membres ne sont pas des nouvelles générations.

G : Oui c’est le gros problème auquel on fait face actuellement dans nos syndicats, et qui fait qu’on se pose beaucoup de questions.

La moyenne d’âge des adhérents est de plus en plus importantes car nous notons que la tranche d’âge très importante entre 50-60 ans.

Il s’avère que c’est assez compliqué de faire revenir des jeunes au sein d’un syndicat, et presque pas possible pour faire intégrer les medias sociaux et leurs nouveaux  outils que permet internet.

On constate tous les jours que c’est compliqué à faire évoluer les mentalités, que ce soit dans une entreprise ou dans un syndicat.

Quelle transition digitale pour les syndicats ?

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F : Tu es un des premiers à avoir mis en place un Podcast dans le domaine syndical, et d’ailleurs il y a une grosse demande pour transférer justement ce savoir.

Qu’est ce que vous avez fait pour passer de ce syndicalisme 1.0 avec beaucoup de proximité, avec du tract, du papier et parfois des emails… à l’usage des réseaux sociaux et des outils du digital.

Par exemple, avez vous un site internet, une page Facebook …

G : Je vais tout d’abord me mettre dans le contexte parce que nous sommes quand même dans une entreprise spécifique.

Je travaille dans une filiale d’un très grand groupe de Telecom ce qui implique que les deux tiers de nos salariés sont sur le terrain en région, avec un peu moins d’un tiers au siège.

Les 2/3 des salariés sont éparpillés partout en France sans locaux, ils travaillent depuis chez eux ou de leurs voitures.

Cela implique que les méthodes de communication doivent être revues et on ne peut pas se permettre de faire des tracts comme on le faisait précédemment, parce qu’on va louper les deux tiers des salariés de l’entreprise.

La première chose qu’on a mise en place c’est de passer des panneaux syndicaux “à l’ancienne” (les panneaux en liège que vous avez vu dans les couloirs), à que des panneaux virtuel qui seraient mis en place sur les interfaces de chacun des employés.

C’était là un premier pas, puis on est venu à mettre en place un mailing list, un site internet avec un forum intégré qui permet selon les niveaux souhaité par les salariés, sympathisant, abonné juste pour avoir des nouvelles.

Les adhérents et ceux qui s’engagent directement (les délégués du personnel, CE…) ont des accès plus au moins importants aux documents et ont des droits d’administrateurs.

On a également mis en place une page Facebook relativement classique.

F : Et je crois que pour les pages Facebook, je crois que vous avez le même taux d’enregistrements qu’on voit une 30% des salariés qui sont inscrits ?

G : Il faut savoir qu’on est loin de 30% sur notre page Facebook…

Par contre dans notre entreprise on a des groupes Facebook qui existent.

Ces groupes Facebook sont créés par les employés pour pouvoir aborder toutes les problématiques concernant leur travail, tels que des astuces ou ce genre de chose, des blagues etc.

Mais on a également une partie qui est consacré à l’aspect économique et social au sein de l’entreprise, ce qui permet aux syndicats de pouvoir converser directement avec les employés de la boite à travers ce genre de groupe Facebook.

Votre page est réservé aux personnes syndiqués  et ensuite vous intervenez sur des groupes Facebook crée par les salariés ?

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G : Oui, on intervient sur des groupes Facebook crées et gérés par les salariés avec des administrateurs.

En l’occurrence nous avons 2 comptes Facebook qui existent pour notre boite, l’un est lié au travail et aux conditions de travail alors que l’autre est beaucoup plus accès aux parties économique et le social de l’entreprise.

Ces comptes sont tenus par des administrateurs syndiqués des différents syndicats de notre entreprise.

On a un admin par syndicat pour ce groupe ce qui nous permet donc de garder une certaine neutralité entre les différents syndicats, et aussi d’éviter que cela s’énerve, que cela fasse de la propagande…

C’est un moyen plutôt efficace, et nous avons 1/3 des salariés qui se sont inscrits sur ce groupe, ce qui nous permet de communiquer directement avec eux via Messenger via des messages rapides.

F : Oui et comme tu l’as dit et c’est vrai qu’on le voit, les gens s’inscrivent a un groupe et ils lisent pas plus facilement alors qu’un message Messenger est envoyé.

G : Oui cela permet une réactivité immédiate.

On voit si les gens ont vu le message et on voit s’ils prennent du temps à nous répondre.

Il est vrai que c’est relativement pratique pour nous et surtout cela leurs permet à eux de nous solliciter en cas de besoin.

Par exemple avec des questions du genre : Je suis convoqué à un entretien préalable a la sanction, est ce que l’un d’entre vous peut nous accompagner…

On peut discuter via Messenger plutôt que via mail ou téléphone qui est très pratique et cela sans forcément connaitre le numéro de téléphone de l’interlocuteur et pouvoir communiquer directement sur le problème du salarié en question.

On intervient aussi beaucoup sur les conditions de travail et sécurité, tous ce qui est CHSCT.

F : C’est vraiment de la discussion au quotidien mais après vous pour faire la propagande, vous avez votre site internet certes mais vous essayez de la rendre plus interactif, est ce que tu peux m’en dire un peu plus ?

G : Oui par exemple, dernièrement on a mis en place une consultation revendicative et en gros c’est une trentaine de questions avec des choix ouverts qui permettaient aux salariés de nous remonter ce qui leur importer dans le cadre des revendications et des futurs négociations qui aller avoir lieu dans notre établissement.

Par exemple ‘Qu’est ce qui compte le plus pour vous ?’ ?

Cela va être la sécurité, les conditions de travail, la rémunération… et c’est ce qui nous a permis de déterminer les principaux critères des salaries, ce qu’ils souhaitaient voir évoluer dans la boite et ce qui nous permet aussi de les solliciter parce qu’on va être amener à faire des négociations et des différents accords à venir.

Quels outils utilisez vous pour faire du syndicalisme 2.0 ?

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G : On utilise Google Forms et une solution open source de questionnaire en ligne, Lime survey, qui permet d’intégrer directement des enquêtes de satisfaction à notre site.

Cela nous permet à tous de modifier les questions en temps réel, de récupérer les résultats en temps réel ainsi que la participation.

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F : Je crois que vous avez également innové en matière de communication avec le premier Podcast syndicaliste.

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G : Etant donné que deux tiers de nos employés sont sur le terrain et que la plupart sont en voiture et ne peuvent pas vraiment lire ce qu’on a à leur proposer.

Lire veut dire prendre le temps chez soi, et je peux comprendre que la plupart des salariés ne vont pas le faire.

F : Et surtout que vous n’avez pas la base d’emails.

G : Oui on n’a pas accès a la base d’emails professionnels, on a uniquement accès aux gens qu’aux gens volontaire pour nous fournir des données.

L’idée est de faire venir les gens à nous en leur proposant un contenu différent.

Ce qu’on a mis en place c’est un Podcast audio qu’on a mis sur Soundcloud dont on a fait la promotion sur les groupes Facebook, Twitter, sur notre site etc

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Nous diffusions un lien privé sur notre site un lien en streaming pour y accéder et télécharger

Il existe des fonctions comme un Flux RSS, un téléchargement en MP3… sur SoundCloud.

Mais l’idée principale est que la majorité des salariés savent que ça existe et qu’ils peuvent l’écouter quand ils le souhaitent.

On a essayé de faire un épisode toutes les deux semaines et on à affiné la formule au fur et à mesure du temps en fonction des retours.

Désormais il est possible de nous poser directement vos questions en live ou gérer des intervenants dans le Podcast.

On a un compte Skype, les salariés peuvent laisser un message sur notre répondeur qu’on peut diffuser pendant l’émission.

Il peuvent aussi nous envoyer des emails avec une question à laquelle on va répondre.

F : Et quand ils laissent un message sur Skype, il y a leurs voix, comment faites-vous pour le gérer ? Vous publiez directement ou alors vous prévenez que le message va être publié en live ?

G : Bien évidemment, les employés sont prévenus et pour être tout à fait honnête, il y a encore personne qui est intervenu via le répondeur car les gens préfèrent poser des questions directement à l’écrit plutôt que d’intervenir dans le Podcast qui est public.

D’ailleurs on a eu pas mal de remontées de notre direction qui nous a demandé de faire des modifications dans nos Podcasts, notamment parce qu’il y avait des noms de salarié qui apparaissait comme la DRH, le directeur etc.,

Les gens qui ne souhaitaient pas que leurs noms soient annoncé publiquement (ce qui est une contrainte légale) ont eu une modification.

Nous avons dû faire des modifications via un petit “Bip”, ce qui permet de faire comprendre cette censure.

Le podcast nous a fait faire de nouvelle audience, et sur les nouveaux Podcast qu’on a relancé derrièrement, cela a fait du Buzz parce que les gens sont curieux de savoir pourquoi on a été censuré, et donc ils viennent écouter ce qui est une bonne chose

F : Et bien sur après il y a les secrets de fabrication, les techniques d’entreprises, les méthodes qu’il ne faut pas divulguer et il faut faire attention à tous ses éléments dans ses communications, comme dans les podcasts.

G : Dernièrement on a fait un Podcast entièrement consacré au réseau avec l’un de nos camarades qui est venu nous parler du déploiement du réseau et de ce que cela implique en terme de travail.

On a été proactif et on a proposé le Podcast en avance à la DRH pour qu’elle nous donne un retour sur cet épisode.

Au final nous avons dure le retirer de SoundCloud, et il est désormais en privé, et on envoie un lien d’accès spécifique au salarié qui le demande (lien privé du podcast).

F : Le Podcast, c’est innovant et c’est facile pour les gens qui sont à distance mais ce n’est pas tout car vous utilisez un peu Twitter. Vous avez également un Live Tweet, dont je vous laisse en parler.

G : Alors on a essayé d’innover avec Twitter au milieu de l’année dernière puisqu’on faisait du Live Tweet des réunions de négociations ce qui permettaient aux gens de voit directement quelles étaient les  propositions de la direction et quelles étaient nos propositions et surtout les réponses en direct.

Nous avons dû d’ailleurs arrêter car de la même manière, on nous a reproche que les négociations devaient rester confidentielles… et on est border line avec la juridiction.

Et donc plutôt que de prendre des risques inutiles, on a préféré faire des comptes rendus après coup ce qui permet de rester malgré tout en bon terme avec la direction pendant les négociations.

Notre but est obtenir sur des accords gagnant-gagnant.

Là nous sommes en pleines élections, et nous avons mis en place un un streaming vidéo live avec Twitch.

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Twitch est une plateforme d’Amazon qui permet de faire du streaming en direct avec Replay et Chat.

A la base, c’est une plateforme utilisé pour faire du jeu vidéo commenté et en live, mais c’est aussi la meilleure plateforme à ma connaissance qui permet de faire du direct en video avec de simple Webcam avec un chat intégré et avec Replay.

Twitch a l’intérêt d’être gratuit, et si on a choisi cette plateforme ce n’est pas pour rien car dans mon entreprise il y  80% d’hommes, avec beaucoup de trentenaires et joueur de jeux vidéos.

Ils connaissent Twitch et qui savent l’utiliser, donc on l’a adopté naturellement.

Twitch est un excellent outil et d’ailleurs on a eu de d’excellents retours même si on n’a pas beaucoup de monde lors des lives.

Mais c’est aussi car on l’’a annoncé 2 heures avant et on compte sur le Replay hébergé chez  Twitch.

Cela nous a permis de toucher beaucoup de monde et on c’est aperçu qu’en 24 heures on avait touché beaucoup plus de monde que le dernier Podcast par exemple.

 Quels sujets aborder sur les Media Sociaux ?

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G : Le live avait son importance car il faut voir que les deux tiers des salariés sont en région et ne nous ont jamais vus.

C’était une manière de nous voir et de poser des visages sur des noms.

C’est une manière de parler aux salariés et c’est tout simplement un moyen de personnaliser leurs élus, de nous rendre plus proche d’eux et qu’ils se rendent compte qu’on est bien présents.

F : Autrement tu m’as dit que vous envoyé des newsletters et des communications régulières ?

G : Oui nous avons la newsletter via le site sur lequel on peut s’inscrire tout simplement et après..

F : Tu m’as parlé du compte Twitter avec un retweet automatique des événements du blog et du site.

G : Oui alors notre Twitter est lu par le DRH de notre boite et la direction.

Le compte Twitter nous permet aussi de balancer pas mal de piques, ce qui est plutôt apprécié par les employés.

On fait aussi tourner les communiquer sur toutes les mobilisations.

Ce sont des choses qu’on est moins amené à faire au quotidien et que le Twitter et Facebook nous permettent de relayer des informations nationales.

F : Vous avez aussi tu m’as dit des groupes WhatsApp, alors vous avez vraiment une entreprise à la pointe de la télécommunication ?

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G : Nous utilisons aussi les groupes WhatsApp qui nous permettent de travailler avec les personnes nomades.

Pour pouvoir s’envoyer des documents et travailler en direct on utilise des groupes WhatsApp et on a des groupes WhatsApp qui sont pour tous les adhérents de notre syndicat.

Ce qui nous permet d’envoyer un message tout de suite à tout le monde et de savoir qui l’a lu ou pas, d’envoyer des documents, des PDF… qui est plutôt pratique.

On a aussi des groupes qui sont uniquement consacré aux Délégués du personnel, au comité d’entreprise…

F : Des groupes techniques qui n’ont pas été créé par l’entreprise ?

G : Non, ces groupes ont été montés par notre syndicat.

Cela a été mis en place directement après avoir mis en place un annuaire de téléphone portable puisque c’est lié au numéro de téléphone portable, et les gens qui souhaitaient y participer ont participé.

F : Vous avez combien de pourcent sur ces groupes   ?

G : Le plus gros groupe est celui qui concerne les adhérents au syndicat, et là on parle de moins de 100 (sur 1500) personnes.

F : Et votre entreprise n’a pas de groupe ouvert externe, c’est que la page entreprise et il n’y a pas d’espace de communication que celle que vous avez créé vous-même.

G : On n’a pas d’Intranet, ni d’outil de communication interne mais nous avons Workplace by Facebook.

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F : Alors justement dis-nous quel est ton sentiment sur la face caché de cet outil ?

G : Workplace by Facebook, est un outil qui est met à la disposition des entreprises et qui permet de faire la même chose que Facebook mais en entreprise.

N’imaginez surtout pas que ce que vous allez mettre dessus va rester privé car ils verront absolument tout ce que vous avez écrit.

Il faut savoir que ce n’est pas un espace libre, mais c’est un espace professionnelle, de la même manière que le mail, le téléphone.

F : Pas question d’aller insulter son chef ?

G : Non, il ne faut pas non plus prendre des photos d’une réunion ou d’y mettre un message tel que “tu peux me couvrir pendant que je vais une sieste stp ? ” – ce genre de message ne passera pas…

Il faut vraiment le prendre comme un outil de travail avec un aspect convivial de Facebook mais que ce sera comme un intranet.

F :  Par ailleurs, est ce étanche par rapport à son profil personel ? Est-ce que si l’on met ses photos persos, ses vacances… sur son compte perso, cela se verra sur la version pro ?

G : Non, je confirme que ce ne sera pas le cas car ce sera vraiment un profil qui ne sera pas du tout lié au profil personnel.

En revanche au niveau de l’usage pro, qui va décider si ça va être un outil de travail obligatoire ?

Qui va mettre les informations dedans ?

Par exemple c’est à vous de décider la photo, votre date de naissance, la ville ou vous habitez, est ce que ce sont les RH qui vont créer votre page avec toutes les informations qu’ils ont en leur possession…

Moi personnellement je n’ai pas du tout envie d’avoir une page accessible à tous les salariés et à mon patron directement en ligne.

Si je dois communiquer avec les salariés, je le ferai a travers les canaux que je maîtrise et que je connais.

Est qu’il y aurait une dernière chose que tu aimerais rajouter sur le syndicalisme 2.0 ?

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G : Il est vrai qu’aujourd’hui les syndicats ont de plus en plus de mal à toucher la jeunesse et toucher de nouveaux adhérents que j’encourage grandement ceux qui se posent des questions dessus qu’il faut simplement innover et que c’est uniquement comme ça que vous pourrez toucher de nouveaux salariés, de nouveaux employés au sein de votre entreprise.

F : Mais quelques part est ce que vous n’êtes pas en train de faire du marketing ?

G : Oui on peut le dire car c’est de la communication, et parfois on considère cela comme du marketing.

Récemment, j’ai été contacté par un syndicat concurrent qui souhaite mettre en place le même système que nous.

Et donc je les aide à mettre ce système en place dans leur entreprise, d’autant plus qu’ils ont annoncé pas moins de 3,000 licenciements pour la fin d’année…

L’actualité va être chaude chez eux, et donc ils auront besoin d’utiliser les bons outils.

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