13 outils indispensables pour faire du Growth Hacking

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Growth Hacker, un métier d’avenir recherché par toutes les entreprises !

Les startups ou de plus en plus les autres entreprises, recherchent un magicien du growth hacking.

Elles veulent du trafic ciblé en masse, des milliers d’utilisateurs et tout ça, le plus vite possible mais avec un budget dérisoire.

Il vous suffit de scruter les sites d’emploi en webmarketing pour vous en rendre en compte. Si vous maîtrisez le growth hacking, le mot “chômage” sera un lointain souvenir pour vous…

Cependant, cela ne veut pas forcément dire uniquement utiliser des logiciels (même si cela aide !)…

Cela peut être un appel d’un “customer success manager” qui appelle les clients dans les premiers jours de l’utilisation et qui aide les nouveaux utilisateurs dans leurs premiers pas.

Le but du customer success manager est d’apporter le plus rapidement possible de la valeur aux nouveaux prospects afin qu’ils utilisent le produit et qu’ils n’abandonnent pas.

Le customer success manager doit aussi gérer les clients “à risque”, c’est à dire les clients qui n’utilisent plus le produit (problème technique…) pour les réactiver.

Toutes ces actions permettent d’augmenter l’utilisation, mais aussi de vendre des prestations ou de la montée en gamme, de détecter les problèmes éventuels dans les produits.

Pourquoi le Marketing tel que nous le connaissons est peu à peu remplacé par le Growth Hacking?

Tout simplement parce que les bases du Marketing datent de l’après guerre.

Le Marketing traditionnel a été créé par les militaires qui ont dupliqués les méthodes de l’armée dans les entreprise afin de créer un “plan de bataille” pour commercialiser des produits sur des marché en croissance.

L’étymologie de marketing, c’est « Market in », c’est-à-dire la mise sur le marché des produits.

Toutes ces techniques sont basées sur le Produit, et la mise en place d’une checklist (le “mix produit”), afin d’adapter au mieux possible le produit au marché.

C’est ce que l’on a appelé les 4P (produit / prix / promotion / distribution), et au fil du temps face aux manques de ce mix, on a ajouté des éléments en plus 6P (processus et personnes), 12 P…
Or, cette philosophie orientée produit ne fonctionne bien que dans un marché simple et en croissance, ce qui n’est plus le cas de nos jours (concurrence, canaux de communication, budgets non extensibles, clients zappeurs…).

Le Growth Hacking, la nouvelle manière de faire du Marketing !

Faire du Growth Hacking, c’est donc mêler bon sens, ingéniosité, automatisation et analyse des résultats (cf comment faire du Growth Hacking sur Facebook) pour avoir un maximum de résultats avec un minimum de budget.

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Lorsque l’on n’est pas développeur, il est plus compliqué de faire du Growth Hacking… heureusement il existe des outils très pratiques qui permettent de prendre le relais.

Le growth hacking se base sur l’optimisation continue du cycle des ventes  :

Le Growth Hacker base tout son travail sur une optimisation du cycle des ventes (le Framework AARR) :

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En synthèse cela veut dire :

1 – Maximiser  l’acquisition de prospects

Cela ne veut pas dire dépenser énormément d’argent en publicité comme les statups de l’an 2000, mais améliorer l’efficacité des outils marketing déployés.

Par exemple beaucoup de personnes pensent que les pop up ne fonctionnent pas, cependant des statistiques (Aweber, Problogger…) montrent que, malgré le côté intrusif, elles permettent de générer plus de prospects et surtout d’avoir plus de clients.

En effet force est de constater qu’en moyenne 98% des visiteurs d’un site internet repartent sans rien faire… D’où l’intérêt de capter leurs coordonnées avant qu’ils ne partent !

Mais en suivant la démarche de Growth Hacking, il faudra faire des tests avec ou sans pop-up  pour vérifier quelle est la solution qui fonctionne le mieux.

2 – Inciter à l’utilisation du produit ou à acheter

Récolter des emails, faire tester une solution… c’est bien, mais ce qui compte c’est d’avoir des clients.

Pour augmenter le taux d’utilisation de ses solutions, il faut optimiser le tunnel de conversion et rendre les premiers pas avec le produit les plus simples et efficaces possible.

C’est par exemple l’utilisation d’assistants ou de tutoriaux qui guident pas à pas les prospects.

Cela peut être aussi un système d’emails automatiques suite à la souscription à une offre produit, ou de l’analyse des abandons de panier, de la détection des points de friction dans le parcours clients…

Le but est de faire en sorte qu’une fois qu’un prospect est (chèrement) acquis, il va bien utiliser votre produit.

3 – Fidéliser et garder le client actif le plus rapidement possible

C’est par exemple des emails de réactivation pour les comptes comptes ouverts mais non actifs après X jours / semaines.

Mais cela peut se faire aussi de manière physique, par exemple via un poste de “customer success manager” qui appelle les clients dans les premiers jours de l’utilisation et qui les aide dans leurs premiers pas.

Toutes ces actions doivent permettre d’augmenter l’utilisation et la satisfaction du produit, mais aussi de vendre des prestation ou des produits de montée en gamme.

C’est d’ailleurs l’un des piliers du Growth Hacking : apprendre d’abord à attirer un petit trafic pour valider son projet (voire de le faire évoluer selon les retours des premiers clients), puis d’améliorer la conversion pour ensuite générer plus de trafic.

4 – Améliorer la rentabilité et monter en puissance sans avoir des coûts qui augmentent proportionnellement

Une fois qu’un levier marketing donne satisfaction, il faut mettre en place un processus d’amélioration continue (split testing, choix de nouveaux outils, optimisations…).

Il faut aussi de mesurer le succès de ses actions via des URL trackées.

Par exemple, vous pouvez faire du guest posting, du Google Adwords, contacter des influenceurs sur Twitter, écrire un livre blanc, faire du retargeting sur Facebook, faire des partenariats, écrire de tribunes, … mais si vous n’êtes pas capable de savoir ce qui va le mieux fonctionner, vos efforts ne seront pas optimaux.

Les différents stades du Growth Hacking

Voici un graphique qui résume comment se développe une startup, mais qui peut aussi s’adresser à la plupart des entreprises ou des lancements de produits :

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Il y a une phase de validation du produit et du processus de vente, puis une phase de croissance avec des moyens limités, puis une phase de montée en puissance.

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Voici donc une sélection de 13 outils indispensables et peu onéreux pour faire du  Growth Hacking :

1 – SEM Rush

SEMrush  (essai gratuit sur ce lien) permet d’une part d’analyser les backlinks, de trouver des idées de mots clés, de surveiller l’évolution de son positionnement, de faire un audit d’un site, d’analyser les annonces PPC de ses concurrents, de regarder ce que font les concurrents (SEO, PPC…)…

C’est l’outil indispensable pour le SEO et l’analyse de la concurrence.

Prix : 70 $ / mois

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2 – PhantomBuster

 PhantomBuster est un outil indispensable pour faire du Growth Hacking sur Twitter, Linkedin….

Il permet d’envoyer des directs messages automatiquement à ses suiveurs, avec des possibilités de personnalisations des messages (noms…), par exemple pour envoyer un message de remerciement.

C’est aussi un outil qui permet de suivre / désuivre des comptes selon des critères (comptes concurrents…).

Prix : environ 100 €

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3 – Social Bearing

Social Bearing est un outil gratuit qui permet d’identifier les influenceurs sur Twitter selon des mots clés, des pays…

Il permet aussi de sélectionner selon le nombre de RT, like…

Prix : gratuit

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4 – IFFT , N8Net Zapier

IFFT , N8N, et Zapier permettent d’automatiser certaines actions grâce aux connecteurs avec d’autres applications tierces.

Par exemp le il est possible de publier automatiquement un flux RSS (blog…) sur son profil Linkedin.

Mais la vraie puissance de ces outils est de créer ses propres automatismes.

Prix : de gratuit à payant

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5 – Zendesk, intercom ou Clickdesk.com

Zendesk, intercom et Cickdesk.com sont des solutions de Chat.

Un chat qui a l’avantage de pouvoir lancer des conversations automatiques aux visiteurs de votre site web.

Par exemple vous pouvez lancer une discussion automatique aux personnes qui viennent sur votre site web, ou qui visitent une page en particulier.

Prix : 14 € / mois

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6 – Thrive Themes Leads

Thrives theme  permet de réaliser via un éditeur visuel des landing pages hyper simplement et hyper rapidement avec WordPress.

C’est l’outil idéal pour créer des landing pages pour ses annonces adwords, pour facebook ads, pour ses livres blancs…

Il permet aussi de créer des pages de comparaisons de produits.

L’abonnement comprend aussi à créer des pages, articles… mais aussi à créer des pop-ups, des bannières de pubs…

Prix : 19 $ / mois

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7 – Linktrackr

Linktrackr.com est un outil qui permet de suivre les conversion de vos actions internet.

Par exemple si vous partagez un lien sur Twitter, Facebook, Linkedin… vous êtes capable de savoir combien de clics ont été effectués, mais surtout si cela généré des clients !

C’est l’outil indispensable pour mesurer les conversion.

Prix : 19 $ / mois

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L’alternative est ClickMeter.com, un outil similaire mais un peu plus cher.

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8 – Mailchimp ou Sendinblue

Ces deux outils permettent de capturer des emails, et de programmer automatiquement l’envoi des emails, de faire de l’A/B testing…

C’est l’outil indispensable pour mener une relation régulière et automatique avec ses prospects avec un scénario pré-défini.

Prix : 8 € / 1000 emails

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9 – Dlvr.it

https://dlvr.it/ est un outil qui permet de synchroniser des flux RSS (blog…) vers d’autres comptes (Twitter, Linkedin…).

C’est un outil simple pour que vos collaborateurs puissent partager automatiquement sur Twitter et Linkedin les informations de votre entreprise.

Prix : gratuit

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10 – SNIP.ly

SNIP.ly permet d’ajouter une publicité en bas des liens que vous partagez sur les media sociaux.

Ainsi vous pouvez mettre en avant des publicités contextuelles au contenu partagé.

Prix : gratuit en version standard

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11 – Revive Old Post

Revive old post permet de re-Tweeter des anciens Tweets afin de remettre en avant d’anciens articles qui restent encore d’actualité.

Prix : gratuit en standard

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12 – Slack

Slack n’est pas un outil de Growth Hacking, mais c’est un outil qui va vous permettre de mieux travailler en commun.

En effet c’est un outil de gestion collaborative très simple et très pratique à utiliser même si on n’est que 3 ou 4 personnes.

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13 – Fiverr.com

Fiverr est une plateforme où vous pouvez trouver des prestataires low cost dans le monde entier.

Grâce à ce service vous allez pouvoir trouver des offres en low cost.

Attention : la qualité de service n’est pas toujours au rendez vous…

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Le Growth Hacking est elle la solution miracle pour croître ?

Oui… Sauf, qu’à partir d’un certain niveau, vous allez devoir penser à gérer la croissance de votre entreprise et à structurer les process.

En effet, votre organisation agile, vos bidouilles… étaient parfaite pour débuter, sauf que pour croître encore plus, vous allez ensuite devoir structurer, recruter des managers, gérer votre communication…

Mais vous devez garder cet esprit “start up”, et cette agilité qui fera votre succès…

Il y a donc des outils, des astuces… mais c’est avant tout un état d’esprit et une méthode.

Cependant, le Growth Hacking est une stratégie qui si elle est mal comprise et/ ou mal utilisée peut vous positionner sur le plan juridique en dehors du cadre légal et vous faire prendre des risques pénales et financiers important.

Si vous avez un doute, nous vous invitons fortement à faire valider votre stratégie et d’être accompagné par un avocat compétent dans le domaine pour utiliser cette stratégie.

En aucune manière nous ne pourrons être tenue comme responsable des manœuvres frauduleuses que vous pourriez mettre en place et déclinons toutes responsabilités sur le sujet.

Growth Hacking n’est pas synonyme de vol ou de tout autre acte répréhensible par la loi quelle soit Française ou applicable dans tout autre pays sur le plan international.

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